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Les vœux de Raphaël-la Haine-Enthoven aux antivax et de Manu-le-Dingo aux vaccinés

Ce n’est pas notre Président, celui que plus personne n’écoute parce qu’il raconte n’importe quoi, mais un philosophe de renom, qui vient de lâcher d’étranges vœux dans le vent. Raphaël Enthoven enseigne la philosophie sur Arte, la chaîne franco-allemande de BHL. Le philosophe d’obédience sioniste BHL a été un temps le beau-père de Raphaël, puisque sa fille Justine a été l’élue du cœur du jeune philosophe, qui était le fils de son éditeur de père, éditeur de BHL, entre autres, issu d’une « famille juive bourgeoise » nous dit Wikipédia, Jean-Paul Enthoven. Jean-Paul qui a lui été l’amant de Carla Bruni, l’ancienne première dame, mais pour le coup une vraie dame, enfin, femme, et dont le petit Raphaël a aussi été l’amant. Et puis Jean-Paul, d’après Raphaël, a été violent avec son fils, qui était peut-être trop brillant, enfin, c’est ce que dit la légende, ou plutôt le livre pleurnichard que Raphaël a écrit et qui est sorti en 2020, Le Temps gagné, un chef d’œuvre proustien, pardon, proutien. On comprend alors pourquoi, dans la tête de Raphaël, ça ne tourne pas rond. Prions pour lui, et pour le prion qui lui dévore l’esprit !

 

Le Monde parle du dernier livre de Raphaël en des termes assez... raphaéliens :

Proust n’a-t-il pas écrit un roman à clé, mêlé au récit de sa vie intérieure, un portrait aiguisé de ses contemporains ? Modèles oubliés, les voilà devenus d’inoubliables personnages. Pourtant, si l’on n’avait pas les clés du Temps gagné, si l’on ne reconnaissait pas Arielle Dombasle sous Rita, Carla Bruni dans la « sublime » Italienne qui met un mot à la place d’un autre comme le directeur de l’hôtel de Balbec chez Proust, ou BHL en Elie, « Dieu sur terre » puis « vieil enculé », aurions-nous la même curiosité à en tourner les pages ? La postérité le dira.

Pour l’heure, c’est plutôt le postérieur qui requiert l’attention du lecteur. Est-ce parce que le Dictionnaire amoureux de Marcel Proust, qu’Enthoven père et fils ont coécrit en 2013 (Plon), soulignait les « tendances sadico-anales » de l’œuvre ? Raphaël Enthoven fait du « cul » et de la méchanceté les deux fondements de son esthétique. Comme il a pu très tôt « parler de caca à table », il a su préserver cette jouissance infantile qui transforme le roman en cloaque. « Merdeux » et autres « fouteurs de merde » l’environnent, sa mère habite « rue de la pisse », avec son mari qui aime « chier partout sa présence ». « Du côté de chez Papa », ce n’est guère mieux : si l’éditeur est parfois « en position caca-retenu », « des formules stercoraires » lui échappent souvent.

Les images sortent du même bourbier : Elie mâche « comme les Américains enculent l’ONU », et les voitures ont des « anus métalliques ». Les femmes, désirées ou haïes, ne sont elles-mêmes envisagées, si l’on peut dire, que sous cet angle. Il raconte la défécation de son ex-épouse, se moque d’une autre qui « sent le vieux prout » ; là où Swann comparait Odette à la Zephora de Botticelli, Enthoven a l’analogie plus prosaïque à propos de sa Béatrice : « Il y avait son cul. Si rond qu’il en était ovale (…). Qui bombait comme un fruit de Cézanne dans un paysage de potins et de fesses renonçantes. »

On s’excuse d’avance et platement devant les maîtres du Monde pour avoir emprunté autant de paragraphes à la recension datée du 11 septembre 2020, tout un symbole. Mais il fallait ça pour comprendre que Rapha n’est pas un philosophe, ce que croit Arte, la chaîne de BHL, mais bien un scatologue, un spécialiste de ces choses que nous ne dirons pas puisque nous sommes un site politique, le premier et le meilleur de France, toujours à la pointe de l’analyse et de la lucidité, et en passant on vous remercie de votre indéfectible soutien, car sans vous on aurait déjà été fusillés économiquement, et donc on disait qu’on avait une certaine tenue, un respect de nos lecteurs, et que ce n’est pas ici que vous entendrez des chapelets d’insultes ou d’injures, puisque, même si parfois nous pouvons être en colère, par exemple contre les oligarques qui mènent notre pays à la ruine (pas pour eux) et à l’esclavage (pas pour eux non plus), eh bien nous, nous structurons notre colère, nous en faisons quelque chose de positif, d’intéressant (on essaye du moins) et de communicable à tous ceux qui aiment la pensée, ce prélude à l’action.

Du coup, les philosophes, c’est plus nous que Rapha, quand même, qui se vautre dans son stade sadico-anal comme un phacochère dans sa bouse. Il vient encore d’en donner la triste preuve en pétant les plombs le soir du réveillon.

 

 

Si l’on peut comprendre la colère de Me Brusa, un avocat doit aussi raison garder, que diable ! Pour nous, Rapha a perdu la raison, et donc son statut de philosophe. C’est dommage, mais ça lui pendait au nez.

 

 

Alors on vous rassure tout de suite, si vous êtes ce que les collabos appellent des antivax, vous n’êtes ni « cons » ni des « monstres », car Rapha ment, ou plutôt délire : il est malade, de la tête, et ses propos n’ont plus de sens. On appelle ça un malade mental, et c’est triste pour lui, car l’enfer est dans sa tête. Du coup, il cherche à propulser en enfer avec lui tous ceux qui ne sont pas, mais c’est un peu gros. Nous on veut pas y aller !

 

 

Au fait, pourquoi avoir relayé les vœux de Rapha plutôt que ceux de Manu, qui semble plus légitime ? En fait non, Manu n’est pas plus légitime que Rapha : le premier a été placé par la Banque, le second par son papa, tout ça manquant bougrement de méritocratie républicaine. Pourtant, ils n’ont que ce mot-là à la bouche !
Nous, la République, on n’y croit pas trop parce que c’est le masque de théâtre des forces occultes qui ruinent notre pays, mais elle a quelques principes, notamment anticommunautaires, qui nous parlent.

 

 

Manu dit le dingo (un jeu de mots avec Dibango) a donc présenté ses vœux, tout en crachant sur la France, rien de neuf sous le soleil de Satan. Il a même substitué le drapeau national de sous l’Arc de triomphe par celui des mondialistes européens, ceux de l’axe Leyen-Bourla. Encore une provocation antifrançaise, bien dans la ligne de son programme de destruction nationale entamé en mai 2017.

Pendant ce temps, il veut faire croire qu’il défend les Français, ce qui est le signe d’une pathologie mentale, bien plus grave que la mythomanie ou le simple mensonge de circonstance :

 

 

Ce n’est pas bien de dire « ta gueule » au Président, mais beaucoup de gens commencent à en avoir assez. C’est compréhensible : les personnes qui sont là pour nous protéger, on dirait qu’elles nous haïssent, et par « nous », on entend tous les Français, pas seulement la division E&R, ni l’armée des antivax, mais bien toute la belle nation de France.

 

 

Du coup, chez les provax, un doute philosophique mais aussi très pragmatique s’installe :

 

 

Et chez les gueux, les moins-que-rien, les oubliés de la croissance du CAC 40 (en pleine flambée actuellement), faux et fourches sortent lentement des fermes...

 

 

 

Dame ! On dirait qu’une récolte de tempêtes se prépare...
Le temps de la grande moisson serait-il arrivé ?

Raphaël-la-haine, sur E&R

 






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